parenthèse pour le café tricot roannais

Bonjour,

eh, oui, le café tricot va devoir prendre un peu de repos (forcé) !

Prothèse totale du genou, le 20 septembre, donc quelques temps sans pouvoir me déplacer ; nous allons nous adapter. Pas question de ne pas tricoter entre amies !

SEPTEMBRE : les rencontres prévues ce mardi 5, au bar de Mably bourg et mardi 12, chez Gisèle, auront lieu comme prévues. Puis, plus rien avant octobre. Gisèle part quelques jours, et moi, je serais hospitalisée.

OCTOBRE : vu que j'aurais, sans aucun doute, quelques soucis pour me déplacer, les rencontres se feront chez moi. Par contre, ce sera le lundi. Le mardi étant réservé au kiné. Et ceci à partir du 9.

Contactez moi, par l'intermédiaire de la fiche "contact" de ce blog ; je vous donnerais mes coordonnées et confirmerais les rencontres. Même, tout bien réfléchi, il peut toujours avoir des imprévus.

Hier, nous avons participé à la fête de la pomme de terre à Neulise. Très belle journée ensoleillée. Beaucoup, beaucoup de monde. Cette fête existe depuis 10 ans, mais cette année, pour la 1ère fois, était installé un village d'artistes où était regroupé des associations locales proposant des "travaux manuels". Vannier, peintre, brodeuses, dentellières, sculpteur, travail du fer forgé. Une fabrication de corde était proposé au public, et nous, nous proposions des initiations au tricotin. Quelques enfants ont essayé, mais ce sont surtout parents et grands-parents qui ont voulu rafraichir leur mémoire, surtout pour le démarrage !

Ce fut une journée très plaisante, très bien organisée ; le soleil était au rendez-vous, ce qui bien sûr, réjoui toujours les organisateurs, surtout lorsqu'il s'agit d'une manifestation, en plein champ !

Peut-être que mardi, nous aurons le plaisir de voir de nouvelles recrues !

les poupées de Margaret (qui auraient pu être vendues 10 fois)

Ce gilet de Gisèle attirait lui aussi beaucoup

Ce beret, au crochet tunisien, plaisait lui aussi beaucoup et j'ai accepté d'en refaire de semblables

pour le tricotin, Gisèle avait récupéré de vieilles bobines de bois